< Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
II
Dans quelque apparat de cloisons peintes
auprès des coupes, et parée de violettes, diaprée d’hyacinthe —
comme sa voix derrière le vitrail auré resplendit.
Dans un hiver royal des pourpres et des ors de l’âtre
dans un apparat de règnes au théâtre
et devant tant et qui, son masque mobile resplendit.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.