< Page:Laforgue - Poésies complètes.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

COMPLAINTE
sur certains temps déplacés


Le couchant de sang est taché
Comme un tablier de boucher ;
Oh ! qui veut aussi m’écorcher !

— Maintenant c’est comme une rade !
Ça vous fait le cœur tout nomade,
À cingler vers mille Lusiades !

Passez, ô nuptials appels,
Vers les comptoirs, les Archipels
Où l’on mastique le bétel !

Je n’aurai jamais d’aventures ;
Qu’il est petit, dans la Nature,
Le chemin d’fer Paris-Ceinture !

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.