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de notre-dame la lune
III
Ah ! sans Lune, quelles nuits blanches,
Quels cauchemars pleins de talent !
Vois-je pas là nos cygnes blancs ?
Vient-on pas de tourner la clanche ?
Et c’est vers toi que j’en suis là,
Que ma conscience voit double,
Et que mon cœur pêche en eau trouble,
Ève, Joconde et Dalila !
Ah ! par l’infini circonflexe
De l’ogive où j’ahanne en croix,
Vends-moi donc une bonne fois
La raison d’être de Ton Sexe !
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