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derniers vers

Ils s’en vont sonnant la retraite,
Et qu’on prend le frais sur le pas des portes,
En vidant les pots de grès
À la santé des années mortes
Qui n’ont pas laissé de regrets,
Au su de tout le canton
Que depuis toujours nous habitons,
Ton ton, ton taine, ton ton.

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