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lui tiendront-ils compte de son bon vouloir,
ou le renverront-ils découragé ?…
Je ne puis vous dire, chère Georgine, combien je désire qu’on témoigne à mon Chinois un peu de sympathie.
C’est à vous que je le présente d’abord, et j’espère que vous l’accueillerez avec bonté.
Bien à vous,
Juliette Lamber.
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