< Page:Lefèvre-Deumier - Le Parricide, 1823.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée


Déjà depuis deux jours la piquante froidure
Enchaînait des ruisseaux la course et le murmure ;
Et les troupeaux frileux, chassés par la saison,
Semblaient avoir aux champs oublié leur toison :

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.