< Page:Mallarmé - Vers et prose.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
une froide fontaine, en un rivage de guivres dédorées, qui s’y est miré ? Ah ! je suis sûr que plus d’une femme a baigné dans cette eau le péché de sa beauté ; et peut-être verrais-je un fantôme nu si je regardais longtemps.
— Vilain, tu dis souvent de méchantes choses…
(Je vois des toiles d’araignées au haut des grandes croisées.)
Notre bahut encore est très vieux : contemple comme ce feu rougit son triste
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.