< Page:Mallarmé - Vers et prose.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos,
Il m’amuse d’élire avec le seul génie
Une ruine, par mille écumes bénie
Sous l’hyacinthe, au loin, de ses jours triomphaux.
Coure le froid avec ses silences de faulx,
Je n’y hululerai pas de vide nénie
Si ce très vierge ébat au ras du sol dénie
À tout site l’honneur du paysage faux.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.