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Puck, humant sa prise.

Vous savez pourquoi nous faisons la guerre…


Boum.

Moi ?… pas du tout !


Puck.

Je vais vous le dire… la Grande-duchesse, notre souveraine et mon élève… car j’ai été son précepteur… (Il ôte respectueusement son chapeau, et, en le regardant, dit avec frayeur.) Ah ! Mon ami !… qu’est-ce que c’est ?


Puck., il s’évanouit presque en montrant un grand trou dans le chapeau.

Regardez… la balle !…


Boum, satisfait.

Allons ! Ils n’ont pas trop mal visé…


Puck.

Ça me fait un effet !… comme c’est heureux que j’aie eu mon chapeau !… sans cela, j’étais mort.


Boum.

Remettez-le vite.


Puck, remettant son chapeau.

Ah ! Oui !… ils n’auraient qu’à tirer encore… la Grande-duchesse donc, notre souveraine et mon élève, a vingt ans… jusqu’à présent, elle nous a laissé le pouvoir ; mais j’ai remarqué que, depuis quelque temps, elle était inquiète, préoccupée… je me suis dit : « voilà une femme qui s’ennuie… il faut que je lui trouve une distraction… » Alors, j’ai fait déclarer la guerre… et voilà !…


Boum.

Très ingénieux !…

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