< Page:Meister - Betzi.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

vous deviez à cet être une grande partie du bonheur dont vous avez joui sur la terre, que vous inspirerait votre reconnaissance ?

— Je serais fâché que ce fût un mauvais roman.

— Mais ne penseriez-vous pas alors mériter un peu l’indulgence que je vous demande ?

— Je ne sais.

— Laissez-moi quelques momens encore à ma douce illusion ; elle ne s’évanouira sans doute que trop tôt.


    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.