< Page:Mercœur - Œuvres complètes, I, 1843.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée


L’hiver, saison des nuits, s’avance et décolore
Ce qui servait d’asile aux habitans des cieux ;
Tu meurs, un vent du soir vient l’embrasser encore,
Mais ses baisers glacés pour toi sont des adieux.


(Décembre 1826.)
    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.