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ADIEUX À L’EXISTENCE.
ODE.
Qui laisse un nom peut-il mourir ? |
| Élisa Mercœur |
Plus de songes, vie éphémère !
Bien loin de moi tous les hasards ;
Voici l’instant où ma paupière,
De l’œil désormais sans lumière,
N’enfermera plus les regards.
Voici l’instant où le délire
Laisse muet le cœur lassé,
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