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ADIEUX À L’EXISTENCE.
ODE.

 

Qui laisse un nom peut-il mourir ?
............
Ah ! qui pourrait pleurer son rêve,
Quand le poids que la mort soulève
Laisse enfin respirer le cœur.

Élisa Mercœur
 

Plus de songes, vie éphémère !
Bien loin de moi tous les hasards ;
Voici l’instant où ma paupière,
De l’œil désormais sans lumière,
N’enfermera plus les regards.

Voici l’instant où le délire
Laisse muet le cœur lassé,

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