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y estoit coagulé. Il faut observer que ce malade estoit convalescent d’une maladie de poitrine, qu’on avoit attribuèe à une espece de pleuresie, quoy que dans cette ouverture on n’en ait trouvé aucun vestige en toute l’étenduë de la pleuvre. On trouva seulement dans le lobe gauche du poumon une matiere liquide écumeuse, & qui paroissoit enquelque maniere purulente. Pendant cette maladie, le Malade avoit eu une espece de leger transport au cerveau. Le jour

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