< Page:Mercure de France - 1702-07.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
qui fist des Vers, fussent-ils de la derniere beauté, & fut-il d’ailleurs pourveu des plus belles qualitez, tant elle avoit d’aversion pour celle de Poëte :
DIALOGUE
DE LA PROSE
ET DE LA POESIE
LA PROSE.
Je ne sçay, d’où vient ta fierté, Ma sœur.
LA POESIE.
& je ne sçay moy-mesme,
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.