< Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée


XII

Les sept fontaines sont taries
Qui jaillissaient dans la grand’place
De la ville où la populace
  Accourait rire aux féeries.

Sur le palais dont les cent porches
Ne s’ouvriront plus à l’attente,
Tombe la nuit épouvantante,
  Lourdement, sans bruit ni torches.

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.