< Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée


XIII

Rouge en la cathèdre royale
Parmi les trompettes de fer,
Elle impose en reine d’enfer
Ses lois à la gent déloyale.

D’un bandeau de pourpre à clous d’or
S’écroule l’azur de ses boucles
Jusqu’à ses doigts lourds d’escarboucles
Qui serrent la clef du trésor.

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.