< Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Sais-tu le chemin de la ville,
Toi si grave avec tes yeux sages ?
Ah ! mon âme qui fut trop vile
A peur des chansons des vieux âges !
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.