< Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
XII
Je ne sais plus par quelle contrée
D’étoiles et de roses de lune
Je t’ai perdue en cette vesprée
Où nos voix se turent l’une après l’une.
Au loin, c’est comme un murmure d’ondes
Coulant vers une mer inconnue.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.