< Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
II
Des fleurs du soir plein tes mains,
Tous les cieux dans tes yeux,
Et l’espoir des lendemains
Dans les yeux et les cieux,
Tu vins par la plaine jaune
En ce froid mois d’automne,
O la donneuse d’aumône
Dont le pauvre s’étonne.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.