< Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
IV
Des lauriers, des lilas et des lys
Pour ma sœur des oiseaux,
Qui pleure les jours de jadis
Au bord des eaux !
Le fleuve se hâle sous le vent,
Vite, comme un oubli,
Vers la mer de la mort, avant
L’effort faibli.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.