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Le lierre noir et la rose églantine
  Défendent les portes du jardin
  Où le soir d’un printemps qui s’obstine
  Est tout d’azur et d’incarnadin.

Dehors s’éplorent les folles fontaines
  Qui virent mi-mort d’amour l’Enfant
  Venu par les routes incertaines
  Vers ce seuil du rêve triomphant,

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