< Page:Mirecourt - Eugène Sue.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
ces habiles qui, pour parvenir au pouvoir et se le partager, ont dit un jour au peuple : Tu es souverain !… Anathème et honte sur ces courtisans de popularité, qui, du milieu d’une oisiveté voluptueuse, spéculent sur les misères du pauvre, et l’excitent à la haine et à la vengeance ! »
Nous empruntons ces paroles à l’écrivain même dont nous venons de retracer la vie.
Elles sont terribles.
Ce n’est pas notre faute, si elles retombent aujourd’hui sur sa tête, avec la pesanteur d’une malédiction.
FIN.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.