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de mariage, en possession du temple, de l’idole et des dépouilles opimes.
Il y a des courtisanes heureuses. Toutes ne finissent pas à la Salpêtrière.
Eugène transporte son cœur et ses hommages aux genoux de la moitié légitime d’un banquier connu.
Trop avare ou trop négligent, le mari n’accorde à madame pour sa toilette qu’un budget restreint, et les mânes économes du père Sue gémissent en voyant le reste du million s’en aller en diamants, en chapeaux, en robes et en cachemires.
Une fois au bout de son héritage, notre héros songe à reprendre à la littérature ce que lui ont enlevé ces dames.
Il écrit quelques articles de mode et
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