< Page:Mirecourt - Jules Janin.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
C’est un sanctuaire où le dieu des arts lui ordonne d’accueillir indistinctement amis ou ennemis.
Le jour où le prêtre manque de justice et d’impartialité, qu’on le chasse de l’autel !
Or, vous êtes ce prêtre-là, messire Janin.
Quelle est, dans notre siècle, la gloire véritable dont votre critique n’ait pas essayé d’obscurcir la splendeur ? Vous avez traité Balzac avec une irrévérence que sa tombe illustre vous reproche aujourd’hui comme un crime. Tout ce qui était grand, tout ce qui était beau, vous avez voulu le rapetisser et l’enlaidir. Pygmée jaloux, vous
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.