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2o6 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE
Ah ! quune ancienne amertume
Imprègne ma solitude^
Je m'enfonce
'Dehors^ dans F au-dehors ! pour me mêler au songe
Des gigantesques ombres,,.
Et reviens en chantant tendrement
Les plus belles voyelles^
Et courant sous les palmes
Vers r immense clairière de la mer !,,,
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