< Page:NRF 14.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée

670

��ROMANCE DU RETOUR

(fragments)

I

J'ai pleuré par les nuits livides Et de chaudes nuits mont pleuré. J'ai pleuré sur des hommes vides A jamais d'un nom préféré. Froides horreurs que rien n'efface! La terre écarte de sa face Ses longs cheveux indifférents. Notre vieux monde persévère. Dou:{e sous pour un petit verre ! Combien va-t-on payer les grands ?

H

Quarante chevaux qui s' ébroue. Arrêt. Le chauffeur va charger Avant de partir^ une roue Amovible. Un noble étranger^ Boyard ou camérier du pape, Monte. La craintive soupape

�� �

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.