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POÉSIES POUR DAMES SEULES
Envole^-votis bel oiseau bleu! Une flamme incertaine rôde Dessous la cendre encore chaude D'un cœur qui brûle à petit feu.
��IV
��599
��Celui gui meurt pour tes beaux yeux, Ton amant, Muse aux sombres voiles, Danse avec les pendus joyeux Oui tirent la langue aux étoiles.
Le diable a marqué mon épaule Du sceau douloureux de Y orgueil... Que Fou me creuse un beau cercueil Dans le corps pantelant du saule !
Tombé du ciel dans la mansarde, Au chevet de mon lit étroit, Le ne~ rouge et tremblant de froid, La nuit, un ange me regarde.
��V
��nuit tendrement ètoilée ! Déjà T aurore entre sans bruit Dans tous les restaurants de nuit. La colombe s'est envolée.
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