< Page:NRF 5.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée

96 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE

MONSIEUR BADILON. — Que lui avez- vous demandé qu'il ne vous ait accordé ? Qu'avez- vous recherché qui ne soit à vous ? Le fruit de votre travail, vous l'avez.

SYGNE. — Je l'ai !

MONSIEUR BADILON. — La race est sauve en Georges que vous sauvez, Le conservant à ses enfants.

SYGNE. — Grand Dieu ! C'est ici que votre main apparaît !

MONSIEUR BADILON. — Je ne vous entends pas.

SYGNE. — Sa femme, dites-vous, ses enfants...

MONSIEUR BADILON. — Eh bien .?

SYGNE. — Tout est mort.

MONSIEUR BADILON. — Paix sur eux ! Vous voici libre.

SYGNE. — Georges reste.

MONSIEUR BADILON. — Que lui garder qui vaille plus que la vie ?

SYGNE. — L'honneur.

�� �

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.