< Page:NRF 5.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée

POÈMES 537

��IV

��RONDEL COULEUR DE TAN

Un long tapis couleur de tan Au pied des arbres gris s'étend. Silence, où seul parfois s'entend Le triste appel d'un cor distant.

Qui donc s'étonna, souffrit tant. De tel amour très inconstant } Un long tapis couleur de tan Au pied des arbres gris s'étend.

Ce fut en un jour éclatant

Que nous espérâmes... Pourtant...

Le souffle lassé de l'autan

Soulève à demi par instant

Ce long tapis couleur de tan.

�� �

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.