228 COMMENTAIRE.
question dans le cinquiesme Hure (t. Ill^ p. 67) d’une « harmonie peu moindre que celle des aftres rotans, la- quelle dit Platon auoir par quelques nuicts ouye dor- mant. »
Page 32, 1. 16 : Et fi preftoit… — Farce de Pathe- lin, p. 13.
Page 35’, 1. 7 : Prefiche^ & put racine^ dlcy à la Pen- tecofie.
Prefchez, patrocinez iufqu’à la Pentecofte, Vous ferez ébahy, quand vous ferez au bout, Que vous ne m’aurez rien perfuadé du tout.
{Molière, L’Efcole des femmes, i, 1)
L. II : Le fainêî Enuoyé. Voyez saint Paul, Epïtre aux Romains^ 13.
L. 21 : Le Pliilofophe Tyanien.\o^ez Philostrate, Vie d’Apollonius de Tyanes. liv. IV, c. 3. Le costume de peste, qu’on ne se représente guère, était un travestis- sement en usage au xvil" siècle, comme l’indiquent des vers de P. Corneille adressés à une dame qui le portait. Voyez Poésies diverses, LIV, Stances :
J’ai vu la pelle en raccourci.
Page 36, 1. 4 : Platon en fes loix. Voyez liv. viii.
Page 37^ 1. 19 : Miles d’Illiers eue/que de Chartres. La réponse de cet évéque était devenue proverbiale. On la retrouve^ avec quelques variantes, chez nos princi- paux conteurs : « Quand l’euefque vcid que fes procès s’en alloyent ainfi à néant, il s’en vint au roy, le fup- pliant à iointes mains qu’il ne lesluy oftaft pas tous, & qu’il luy pleuft au moins luy en lailTer vnc douzaine des plus beaux & des meilleurs pour s’efbatre. » (Bona- venture des Periers, Nouvelle 34). « Ce roy le voulant depeftrer d’vne infinité de procès, il le fupplia fort af- fedueufement de luy en lailfer au moins vingt cinq ou trente pour fes menus plaiflrs. » (Henri Eftienne, Apologie pour Hérodote, c. 17, t. i, p. 362)
Page 3 8, 1. 11 : JVlofes. Voyez Deutéronome^ c. 20, V. 5, 6 et 7.