TIERS LIVRE, T. II, V. 174-181. 255
Un de ces instruments est exposé au musée de ClUny.
L. 9 : Chien cliié chanté. Voyez ci-dessus, p. 78, la note sur la 1. 26 de la p. 22.
L. 18 : LiZ gihhejjlere de mon entendement. Voyez ci- dessus, p, 99, la note sur la 1. 13 de la p. 54.
Page 175, 1. 15 : Par leurs parolles. Allusion au pro- verbe : « On prend les taureaux par les cornes et les hommes par des paroles. »
Page 178, 1. 14 : Appelle Fatuel. Defatum^ destin. Voyez Servius sur le v. 47 du liv. vu de l’Enéide.
L. 29 : Seigny loan. Voyez la Table des noms. Le conte qui suit forme la 9" nouvelle des Çento nouelle antiche^ qui a pour titre : Qui fi ditermina vna qtiiflione e fenten^ia che fu data in Alejfandria. Il a été repro- duit sous bien des formes différentes depuis Rabelais. Du Fail (t. II, p. 268] le résume ainsi en quelques lignes : « Payez moy, diibit le rotiffeur au gueu, qui mettoit fon pain fur la fumée du roft : ouy vraye- ment, refpond il, faifant tinter & fonner vn douzain : c’eft du vent que i’ay prins, duquel mefme ie vous en paye. »
Page 181, 1. i : Comment… eji Triboullet hlafonnè. Les litanies burlesques qui suivent semblent emprun- tées aux usages de nos anciennes sociétés bouffonnes. Le Cry du leu du prince des Sot^ de Gringore [Bibl. el^év.j t. I, p. 201) commence ainsi :
Sotz l’.matiqnes, Sotz ellourdis, Sotz fages, Sotz de villes, de challeaulx, de villages, Sotz raffotez, Sotz nyais, Sotz fabtilz, Sotz amoureux, Sotz priuez, Sotz fauuagcs.
Voyez aussi : Roger de Collerye, Bibl. el^év.j p. 271-275 ; Anciennes poéfies françoifes^ Bibl. el^,, t. I, p. II, et t. III, p. II.
L. 15 : jF’. de haulte game.
Et Fol iufque à la haute Game. (Clini. Marot, Epitaphe vi, De’ loiuu Fol de ma Dame)