(,)UART LIVRE, T. II, P. 31O-318. 275
lui, non seulement les satiriques, mais les prédica- teurs, tels que Menot et Maillard, avaient poursuivi de leurs invectives, gens de justice, juges, avocats, pro- cureurs, sergents. Voyez H. Estienne, Apologie pour Hérodote^ c. VI. — Pierre le Loyer, angevin, d : ins sa Néphélococugie, imitation fort amusante de la comédie des Olsedux, d’Aristophane, a substitué au sycophante un personnage nommé Chicanoux, inspiré par ce cha- pitre. Voyez Egger, Hellénisme en FrMice, t. Il, p. 12. L. 22 : Femmes & en fans.
Frappez. J’ay quatre eiifans à nourrir.
(Racine, Les Plaideurs, 11, 4.)
Page 312, 1. 32 : La coufiume ohferuee en toutes fianf ailles. « Apres les coups de poings de fiançailles, à la mode du païs, Claribel changea le dueil de fon père, pour les ioyes d’vn nouueau mariage, « (Yver, poi- tevin. Le Printemps d’Yver^ journée 5)
Page 313,1. 5 : Anneau d’argent gros &large. Servant de cachet, de sceau.
Page 315, 1. 5 : Efgue orbe. « Equa orba. « Chi- canous parle comme l’écolier limousin. C’est, aux yeux de Rabelais, un nouveau grief contre lui.
Page 316, 1. 20 : La monflre de la diablerie. « L’ex- hibition, l’essai, la répétition, comme nous dirions aujourd’hui. » (Burgaud des Maretsj. Cette remarque n’est pas exacte. Cette « monftre » eut lieu « parmy la ville & le marché. » Le nom d’ « exhibition » peut, à la rigueur, convenir, mais non celui de « répéti- tion. » C’était une annonce et un cortège, ce que les entrepreneurs de cirques forains appellent « le tour de ville. »
Page 317, 1. 4 : Hic… hifacco. « Celui-là est de patrie et de race bélitre, qui a coutume de porter des bribes dans un antique bissac. »
Page 318, 1. 5 : La diablerie de Saulmur, de Doué. Voyez ci-dessus, p. 226, la note sur la I.2 de la p. 27, et, p. 227, la note sur la 1. 28 de la p. 28.