avons été parfaits. Mais c’est ma dernière visite.

Nous ne nous reverrons plus.

Nous nous reverrons en amis. Vous le disiez tout à l’heure.

Oui, mais plus autrement. Et dans l’escalier, j’avais de vagues transes.

Pourquoi ?

Parce que…

Rien ne gronde en moi. Quand je me suis donnée à vous, ne savais-je pas qu’il faudrait me reprendre ? Si le décrochage a été pénible…

Nous n’en finissions plus. Nos deux cœurs tenaient bien.

Ils sont aujourd’hui nettement détachés. J’ai mis dans ce petit paquet, les dernières racines : quelques photographies, votre acte de naissance que j’avais eu la curiosité de voir… comme vous êtes encore jeune !