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Lundi 30 septembre 1861.
MÉLANGES RELIGIEUX
HISTORIQUES, POLITIQUES ET LITTÉRAIRES,
PAR
M. LOUIS VEUILLOT[1].
ÇA ET LA, PAR LE MÊME[2].
« C’était le point attaqué, et j’aime la lutte. »
Veuillot, l’honnête Femme
Voilà un bien gros morceau. Je ne les crains pas autant que quelques-uns le pensent, mais le moment pour moi de mordre à celui-ci n’était pas venu. Quand je dis que le moment me paraît venu aujourd’hui, que l’on me comprenne bien ; ce n’est point parce que M. Veuillot est hors de la lice, que je crois devoir en profiter. D’ailleurs, des écrivains comme lui ne sont jamais
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