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Lundi 20 février 1885‘
MARIE-THERÈSE ‘ BT. MARIE-"ANTOINETTE. — LEUR CORRESPONDANCE , > PUBLIÉE 1>AR M. LE CHEVALIER ALFRED iYARNETH ET À CE PROPOS DE LA GUERRE DE 1778. —(sans m‘ 1m.) — Uimpartialité nous oblige à dire que tous les conl seils de Marie-Thérèse à sa fille n’étaient pas également bons ; nous distinguerons entre ceux qu’elle lui donnait sur son métier de reine, conseils sages, utiles, excellents à suivre en tout point, et ceux que la politique particulière de l’Autriche lui dictait : ces derniers
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