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croisaient sur le sable, et je dus aller au hasard.

Ce maudit sable rendit encore plus pénible l’allure de mon cheval. Je payai l’homme, et, sautant à terre, je m’en fus à travers bois, coupant les taillis pour aviser chaque allée, me fiant à mon étoile plus qu’à mon discernement.

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