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LOUISE.
Chère enfant, tu connaîtras ce plaisir-là, à la condition pourtant que tu ne mettras pas trop de curiosité dans ta vie.
ANNA.
Encore ? Je n’entends pas.
LOUISE.
Si fait. Tu sais bien que la curiosité est un trouble de l’âme, une maladie ! La vertu, c’est le calme et la santé.
ANNA.
Très-bien ! un sermon ?
LOUISE.
Que veux-tu ? je vieillis !
Scène II
ANNA, LOUISE, Un Domestique.
LE DOMESTIQUE.
M. le marquis de Valroger fait demander si madame veut le recevoir.
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