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marande le veuille ou non, son fils lui appartient,

et je ne sais pas jusqu’à quel point nos consciences, la mienne comme celle de M. de Salcède, et comme la vôtre, Charles, nous permettraient de rompre les liens de la famille pour unir Gaston à Charlotte. S’il prenait fantaisie à mon mari de reconnaître son fils, il ne consentirait jamais à une telle union, et, s’il la trouvait contractée, il en invoquerait certainement la nullité.

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