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Scène IV.

BAPTISTE, étendu par terre ; CÉCILE, endormie sur le fauteuil ; GUSTAVE, entre eux ; FRÉDÉRIC, en dehors, frappant à la porte.

FRÉDÉRIC.

Gustave ! Gustave ! ouvre-moi.


GUSTAVE.

Grands dieux ! c’est la voix de Frédéric. (À Baptiste.) Sur ta tête, ne profère pas une parole, ou tu es mort.


FRÉDÉRIC, toujours en dehors.

Eh bien ! m’ouvriras-tu ?


GUSTAVE.

Oui ; mais, au nom du ciel, ne fais pas de bruit. (À part.) Quel parti prendre ? que devenir ?… Elle est perdue !… Ah ! ce paravent… (Il entoure avec le paravent le fauteuil de Cécile, jusqu’à la muraille, de sorte que le panneau secret se trouve enfermé dans le paravent. À Baptiste, qui est toujours couché.) Et toi, relève-toi donc, et songe à ma recommandation.

(Il va ouvrir à Frédéric.)
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