Pour un savant que j’estime et j’honore,
L’erreur est grande.
À présent, je le voi,
Oui, dans le ciel je n’étais pas encore,
(La regardant.)
C’était le ciel qui descendait vers moi.
Lui, et puis le docteur que j’ai envoyé chercher ; et sans son secours…
Oui, ce bon Schultz, mon ancien ami, l’ami de ma famille ; j’avais oublié de l’avertir, et c’était mal à moi de mourir sans lui ; il me l’a bien reproché, et rien ne pourra m’acquitter jamais envers vous deux.
N’est-ce pas moi qui vous suis redevable ? vouloir bien me donner des leçons d’italien et de français, vous, monsieur Reynolds, un si grand savant, c’est bien de l’honneur.
Non ; mais c’est commode pour vous, dans la même maison, quelques escaliers seulement à monter, et tous les deux jours, quand je vous vois arriver avec la vieille Catherine, votre gouvernante…
Nous interrompons vos travaux.
Non ; cela me repose, cela me délasse, comme de