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LE FOU DE PÉRONNE.

Scène PREMIÈRE.

M. DURAND, madame DURAND, écrivant à une table, JACOTIN, poudré et en bore de chambre, frappant à la porte, à gauche.

JACOTIN.

Je suis à vous, Madame Durand ; nous allons régler le menu. (Frappant.) Le cher oncle est-il levé ? Peut-on présenter ses respects au cher oncle ?


Scène II.

Les précédens, GERCOURT, en robe de chambre.

GERCOURT.

Tout à l’heure, mon cher Jacotin. Voilà bien l’impatience d’un nouveau marié. J’achève ma toilette et je suis à vous.

(Il referme la porte.)

MADAME DURAND.

Ah ! Monsieur venait toucher la dot.


DURAND.

Cent mille francs, ça en vaut la peine.

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