< Page:Scribe - Théâtre, 7.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Scène XIV.
FRANVAL, M. DE SAINT-MARCEL, ROSE.
FRANVAL, la serviette à la main, à la cantonade.
Je suis à vous, milord ; je veux ratifier le traité d’alliance avec d’excellente liqueur de Bordeaux que j’ai rapportée moi-même.
ROSE, à M. de Saint-Marcel.
Voici justement M. Franval.
FRANVAL.
Qu’est-ce que c’est ?
ROSE.
Un monsieur qui voulait dire deux mots, à vous ou à votre gendre. (À part.) Allons vite préparer Lolive au nouveau rôle qu’il doit jouer.
Scène XV.
FRANVAL, M. DE SAINT-MARCEL.
M. DE SAINT-MARCEL.
C’est à M. Franval que j’ai l’honneur de parler ? enchanté, monsieur, de vous trouver à Paris ; je ne vous connaissais que de réputation, et d’après les récits de mon vieux camarade, M. de Sainville, qui, dans toutes ses lettres, me parlait de vous et de son fils Édouard.
FRANVAL.
Vous êtes un ami de M. de Sainville ?
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.