< Page:Stevens - Contes canadiens, 1919.djvu

Cette page a été validée par deux contributeurs.
11
LES TROIS DIABLES
les écus du bonhomme ne prenaient pas alors le chemin de l’église.

Elle buvait comme un trou…
Il arriva cependant que ça finit par tanner la vieille d’avoir toujours à chercher l’argent que son mari s’obstinait à cacher, et il lui passa un jour dans l’esprit une effroyable idée, — c’est étonnant comme les ivrognes ont toujours de mauvais desseins : — elle s’avisa d’invoquer le diable !…
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.