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mains d’un commissionnaire, une lettre dont l’adresse

était de la main de Michel. La lettre était rédigée comme suit :


Avis. — MAURICE FINSBURY, pour le cas où le présent avis lui tomberait sous les yeux, est informé qu’il apprendra quelque chose d’avantageux pour lui, demain matin lundi, à dix heures, dans mes bureaux, 42, Chancery Lane. — MICHEL FINSBURY.


Docilement, Maurice, dès qu’il eut parcouru cette lettre, la transmit à son frère.

— Ah ! voilà une façon qui me plaît pour écrire un billet ! s’écria Jean. Personne autre que Michel n’aurait jamais pu écrire ça !

Et Maurice, dans sa dépression, n’osa pas même protester de ses droits d’auteur.

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