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quait partout, parce que les paroles de Koutouzov

découlaient non de considérations habiles mais du sentiment qui était en l’âme du général en chef comme dans celle de chaque Russe.

En apprenant que nous attaquerions l’ennemi le lendemain, en entendant, des sphères supérieures de l’armée, l’affirmation de ce à quoi ils voulaient croire, les hommes épuisés, chancelants, se rassérénaient et s’encourageaient.

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