< Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol2.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
sectes qui tournoient, transparents au soleil, et,
respirant le parfum de l’air après la pluie, de penser : « Comment n’avoir pas honte de dormir en une pareille soirée ? » Et aussitôt de courir au jardin jouir de la vie. Si cela vous est arrivé, vous connaissez le sentiment si vif que j’éprouvais à ce moment.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.