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ditch : Grigori ! Nouveau coup de sonnette.) Allez, Vassili Léoniditch vous appelle…


GRIGORI

Il attendra. Il vient seulement d’ouvrir l’œil… Écoute, pourquoi donc ne m’aimes-tu pas ?


TANIA

Et quel amour avez-vous inventé ? Je n’aime personne…


GRIGORI

Ce n’est pas vrai ; tu aimes Siomka. Tu as bien choisi ! Un paysan de l’office, un lourdaud !


TANIA

N’empêche que vous en êtes jaloux… (À la cantonade Vassili Léoniditch appelle : Grigori !)


GRIGORI

T’as bien le temps, va !… Bah ! il n’y a pas de quoi être jaloux ! Mais toi, à peine dégrossie, avec qui vas-tu te lier ?… Ce serait bien autre chose si tu m’aimais, moi, Tania !…


TANIA, fâchée et sérieuse.

Je vous dis que vous n’aurez rien de moi. (Vassili Léoniditch à la cantonade : Grigori !!!)


GRIGORI

Vous êtes bien sévère ! (Vassili Léoniditch à la cantonade crie d’une voix égale, de toutes ses forces : Grigori ! Grigori ! Grigori ! — Tania et Grigori rient.)

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