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en tête qu’il était un héros. Il prit le fusil, et avec

la foule, en criant hourra ! il courut loin du Français tué. Après vingt pas il arrivait à la tranchée. Là-bas se tenaient les nôtres et les commandants de bataillons.

— Moi, j’ai tué un Français ! — dit-il au commandant de bataillon.

— Bravo, baron !

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