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ça vaudra mieux, — conclut-il en se levant pour
appeler le garçon.
Je me représentais tout ce qu’il pouvait s’imaginer de moi et en voyant son regard incrédule et gêné fixé sur moi, j’étais offensée des terribles pensées que je lui attribuais, « Non, il ne veut pas, il ne peut pas me comprendre ! »
Je lui dis que j’allais voir l’enfant et le quittai. Je voulais être seule et pleurer, pleurer, pleurer…
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