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II
Polikey, comme un pauvre homme humble et sordide, appartenant de plus à un autre village, n’avait trouvé d’appui ni auprès du sommelier, ni auprès du maître d’hôtel, ni auprès du gérant, ni auprès de la bonne. Le coin qu’il occupait était des plus étroits, bien qu’ils vécussent là sept : lui, sa femme et cinq enfants.
Les coins avaient été aménagés par le barine défunt de la manière suivante :
Dans une isba en pierre de dix archines, se trouvait un grand poêle russe ; tout autour régnait un collidor, comme l’appelaient les
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